– La culture générale doit être poursuivie pour les connaissances qu’elle donne, pour le développement de l’intelligence, du jugement
– La connaissance du métier doit se perfectionner: le maître s’imposera d’être au courant des nouveautés psychologiques et pédagogiques », de porter sur elles un jugement sain et d’y glaner tout ce qui peut améliorer son enseignement.
– Grace au développement de cette culture, il risque moins de succomber dans l’accoutumance qui commence par : la paresse, l’engourdissement de l’esprit…
– Le maître trouve enfin dans la culture la source d’une valorisation personnelle, précieuse pour lui, nécessaire pour le métier qu’il exerce, et dont la devise pourrait être « ETRE POUR DONNER »
MOYENS DE PERFECTIONNEMENT
– La lecture, les journées d’études, cercles pédagogiques, visites d’écoles modèles, l’autocritique de ses leçons, recherche des matériels didactiques, les discussions entre collègues…
QUEST-CE QU’UN VRAI INTELLECTUEL ?
L’homme est comparé à un champ, il produit selon les semences qu’on y a semées. Si un homme prétend être cultivé, alors qu’il n’éprouve pas ses capacités, qualifiez sa formation comme étant superficielle.